Rp: Julian Storm, Devon Gesner, Maeve Parker: Inspection de l'Intersecret

A Langley Julian était toujours observer, non parce qu'il travaillait mal, mais parce que beaucoup se demandait ce qu'il pouvait bien faire dans les bureaux. Son parcours était un exemple pour beaucoup, l'un des tout premier adolescent agent de la CIA, lui même fils d'agent de grande qualité. Mais cela faisait deux ans maintenant qu'il refusait toute mission sur le terrain, pourtant il lui arrivait encore de s'entrainer comme si il l'était encore, et bien qu'il était un peut rouillé, il marchait toujours très bien. Son directeur directe décida donc de le faire bouger, au bout de deux ans il était temps que Julian face définitivement son deuil. une année pour chaque partie de son coeur qu'il avait perdu, cela était suffisant. Julian ce retrouva donc a faire une inspection dans une école qui hébergeait des agents. Le patron lui dit seulement qu'il connaissait ce genre de chose.
Il se rendit donc au lieu dit, entra dans l'école et sonna à la porte de la directrice.

Julian entra dans le bureau quand il entendit une réponse, il se montra très protocolaire et tendit la main au deux agent de l'intersecret présent devant lui. Il lui sembla avoir déjà vu la femme ailleurs, déjà en regardant son dossier son visage ne lui était pas totalement inconnu. Maintenant qu'il l'avait en face de lui ce sentiment ce renforçais.

"Bonjours. Je vais être bref, simple et consit. Mon chef ma envoyer ici pour que je sorte le nez de mon bureau, rien de plus rien de moins. Vous n'avez absolument rien à craindre; nous pourrions rester là à boire un café que cela ne changera rien mise à part que je devrais tout de même écrire quelque chose!, et autant vous le dire tout de suite, je ne suis pas fan du concept d'adolescent lancer en mission."

Julian pris place bien au font du siège que lui proposa Maeve et joignit le bout de ses doigts, les coudes sur les accoudoirs Il regarda Maeve pendant un instant de silence et seul les plus observateur auraient remarqué son froncement de paupière au milieu de sa longue réflexion. La citation fit que l'inspiration qu'il pris avant de parler parut beaucoup plus importante qu'elle ne l'était.

- Vous me connaissez Maeve. Les bureaux m'ont-il autant changer? ... Moscou, 23 septembre, il y a 5 ans, réception de Dimitry Tokolov, l'ex mania des affaires. Aussi ma dernière mission sur le terrain. Votre équipe et vous étiez envoyer pour ... comment dire ? ... m’intersecter. Les grand patrons n'ont pas aimés que j'intervienne seul sur cette affaire, mais Tokolov était à moi ... Je vous est remis en main propre un téléphone portable rouge qui contenait les protocoles de contrôle du satellite de cette ordure. Vous avez même essayez de me convaincre de rentré avec vous. Mais je ne l'ais pas fait ... Les patrons n'aime pas quand on agissent en freelands.

[HJ; dsl pour le temps de réponse et si la date que je donne ne fait pas logique)

- Non ce ne sont pas eux qui mon mit derrière un bureau, c'est moi qui l'ais voulut. Ils auraient largement préféré me placer dans une équipe comme second à surveiller étroitement. Mais ils ont accepter asse facilement. Quatre mois plus tard Tokolov c'est retrouver ruiner, à la rue. Alors qu'il mangeait dans un dispensaire je suis aller lui rendre une petite visite ... Je suis rester en face de lui s'en rien dire jusqu'à ce qu'il me reconnaisse. Je lui est expliquer que cent fois par nuit je rêve de lui trouer la tête de deux balles. Une pour chaque être qu'il ma enlever. Mais que ce n'était que trop bon pour lui. Je lui est lancer son assiette de soupe froide à la figure et je suis rentré ... Après ça les grand patron mon mit au entrainement des nouveaux, mais j'ais été jugé trop dure dure avec eux ... il faut dire aussi qu'il ne se passait pas un jours s'en qu'un d'entre eux finisse à l'infirmerie. Après ça ma candidature comme analyste est passé s'en problème.

Il regarda Maeve droit dans les yeux.

- Je n'avais pas encore fait ma pubertés quand je suis devenu agent grâce à mon père. Presque toute ma vie ce résume en 3 lettre; C.I.A. Et aujourd'hui à 32 ans, bien que j'ai fait des choses que le commun n'imagine pas, un grand vide remplace mon passé ... et mon futur. J'ai perdu mes parents, la femme que j'aimais plus que ma propre vie et notre enfants à naitre. Je ne suis qu'un point sur un échiquier de politiciens véreux ... Alors ne m'en veillez pas si je suis retissant à accepter que d'autre jeunes ce retrouvent dans quelque années dans la même situation que moi ... Leur avez vous au moins une fois dit que ce travail est cruel?, qu'il vous arrache le coeur à vif?

Il fit un bref mouvement de la tête de bas en haut aux dernière paroles de Maeve, mais il avait lut dans ces yeux que ce qu'il lui avait confier sur Tokolov et sa carrière n'était pas a son avantage. La psychologie était indispensable dans ce métier, il fallait parfois deviner ce que les personnes avait en tête très rapidement pour survivre.
Il lui adressa un sourire tout aimable et un peut amuser.

- A l'époque mes nerfs avaient les nerfs, j'aurais mordu comme un chien si la rage m'avait prise. Mais je suis beaucoup plus calme à présent, sinon on ne m'aurais pas envoyer sur un dossier qui m'est sensible. J'aimerais voire quelque contrendut de missions pour voire comment vos jeunes agent se débrouille. Particulièrement ceux où il y a eux des pressions sur eux ... ayant moi même encore la vengeance dans la peau je sais que ce n'est pas facile a vivre. Il serait dommage qu'il est déjà le même fond d'esprits que moi à leur âge. vous ne trouvez pas?

Julian prit les dossier et lut le premier asse rapidement. A force de travailler dans les bureaux de la CIA on apprenait rapidement à lire très vite aux risque de section et autre cris du patron, ou même d'un subalterne qui attend des résultat rapidement. Il en était à la fin du deuxième quand il repris la parole.

"Pour ma part je considère qu'on n'est pas un véritable agent temps qu'on a pas eu du sang sur les mains et la conscience. C'est comme pour les soldats en temps de guerre. On est pas admit tant qu'on a pas abattu un ennemis. Sinon tout ça n'est qu'un jeux, on ne voix pas la dure réalité."

Il passa au 3ème dossier et remarqua un élément; Il relut la page entière pour être sur. Finalement il remit le dossier à la première page et montra la photo à Maeve, s'était celle de Jennifer. Il était soudainement devenu plus excité, plus tendu.

"Elle! ... il faut que je lui parle, elle est intervenu sur une transaction entre un certain Rapiev et une personne inconnu. Rapiev travaillait en sous traitance pour Tokolov. Si cette pourriture recommence ces trafiques, il est hors de question que je laisse les grand patrons envoyer n'importe qui ... il est a moi tant qu'il n'aura pas rejoint ceux qu'il m'a prit, après avoir très longtemps ramper comme la salle vermine qu'il est."

Après ces mots Julian chercha à ce détendre, il savait parfaitement qu'on ne confiait rien a quelqu'un qui ne ce contrôlait pas. Après quelque instant le pourpre qui avait envahie son visage disparu et il eu a nouveau le visage d'un bureaucrate même si son regard restait déterminer.

Julian soupira.

"Dés qu'elle rentre il faut que je lui parle, c'est très important. Je ne sais pas quel sont exactement les informations que vous avez eu il y a cinq ans, si s'était seulement une mission pour me ramener de force ou intervenir en renfort, mais Tokolov est très subtil dans ces affaires, il ne vend des armes qu'en pièce détacher. Parfois mélanger à d'autre. Mon équipe avait stopper l'une cargaison de cafetière. On l'aurait laisser repartir si Laura...."

Se nom sembla le faire souffrir

".... n'avait pas accidentellement fait tomber l'une d'elles et fait apparaitre un circuit imprimer destiner à un missile balistique en Turquie, des innocents serait morts. Votre agent à peut-être s'en le savoir découvert que ce trafique recommençais .... Cela fait cinq ans que l'équipe charger de son cas n'est plus actif, parce qu'il sont tous mort sauf moi. Un analyste, et qu'a t-on a craindre d'un analyste?. Si ça se trouve il pense que je suis trop rouillé pour le remettre dans la fange avec les porcs."

Il ce pencha vers Maeve en s'appuyant sur le bureau.

"J'ais juste besoin de plus d'informations que ce qu'il y a dans ce dossier. Une fois de retour à Langley, j'aurais des pistes à suivre, bonne où mauvaise. Et en prime je pourrait évaluer l'efficacité l'un de vos agent."

Julian n'avait pas l'intention de retourner à Langlay si il s'avérait que la personne anonyme était Tokolov, il irait tout droit en Russie. Peut importe si il était viré, il travaillerait en Freelands.